Cinéma
Nos coups de cœur de 2021
Luca
Réalisé par Enrico Casarosa
Durée : environ 1h35
Luca est un court-métrage produit par Disney et Pixar. Il est sorti uniquement sur la plateforme Disney +. Se déroulant dans les années 1950 en Italie, le film nous conte l’histoire de Luca, un jeune monstre marin qui mène une vie paisible en gardant ses poissons. Un jour, il fait la connaissance d’Alberto, créature comme lui mais qui vit à la surface. Après avoir découvert qu’il pouvait se métamorphoser en humain (à condition de ne pas être mouillé), il part découvrir avec son ami Alberto le village du coin. Là-bas, les habitants ont peur des monstres sous-marins sans se douter que les deux compères en sont… Ils y feront la connaissance de la jeune Giulia , qui les aidera à gagner une Vespa pour partir explorer le monde. Mais les parents de Luca sont aussi en ville pour le retrouver…
Pourquoi on l’a aimé : Ce sympathique film d’animation de Disney-Pixar est une véritable pépite. Luca est un récit d’enfant pendant les vacances d’été. C’est une belle leçon de vie qui nous montre que tout le monde peut vivre ensemble. L’animation est jolie, même si le film n’a rien de révolutionnaire.
The Suicide Squad
Réalisé par James Gunn
Durée : environ 2h10
Dans les années 60, lors d’un voyage dans l’espace, les humains ont ramené un extraterrestre sur Terre. Aujourd’hui conservé dans un laboratoire de l’île de Corto Maltese, dirigée par un dictateur, la créature nommée Starro fait des ravages. Face à cette situation, le Gouvernement Américain réuni quelques-uns des méchants de l’univers DC Comics tels qu’Harley Quinn (Margot Robbie), Peacemaker (John Cena) ou encore Deadshot (Idris Elba) (entre autres) pour les envoyer au suicide afin de sauver le monde !
Pourquoi on l’a aimé : Véritable cocktail d’humour et de violence mis en scène par James Gunn (Les Gardiens de la Galaxie), The Suicide Squad rattrape bien la catastrophe qu’avait été le Suicide Squad de David Ayer (2016). La mise en scène est complètement décalée et se différencie (en bien) des films « classiques » de super-héros. La personnalité de chaque personnage issus des Comics DC est bien représentée et parvient à former une équipe qui marche bien (enfin, presque) !
Kaamelott – Premier volet
Réalisé par Alexandre Astier
Durée : environ 2h
Suite de la série Kaamelott diffusée sur M6 qui se déroule au Moyen-âge. Kaamelott – premier volet et le premier film d’une trilogie. Après la disparition du Roi Arthur (Alexandre Astier), parti pour Rome, Lancelot prend le contrôle du royaume de Logres. Fou, ce dernier lance ses troupes à la recherche d’Arthur… Mai le roi va revenir pour sauver son royaume !
Pourquoi on l’a aimé : Film très attendu, il n’a pas déçu. Qu’on soit novice de la série ou pas, ce long-métrage est vraiment sympathique. L’humour est fidèle à la série et les personnages ne changent pas trop non plus (ils sont toujours aussi drôles). C’est clairement un des meilleurs films français de l’année, avec un casting très sympathique (Alain Chabat, Christian Clavier, Clovis Cornillac, Sting…).
S.O.S Fantômes : L’Héritage
Réalisé par Jason Reitman
Durée : environ 2h
Comme nous l’expliquions dans l’hebdo du 1er décembre 2021, voici un bref résumé de l’histoire : De nombreuses années après les événements de deux premiers films, la célèbre équipe de chasseurs de fantômes est dissoute. Les petits-enfants d’un des membres fondateurs de l’équipe emménagent dans la maison de campagne de leur regretté grand-père. Dans une nouvelle petite ville, ils découvrent vite avec leurs nouveaux amis et un de leur professeur que leur grand-père était l’un des célèbres Ghostbusters. Son équipement va leur servir pour sauver le monde d’une nouvelle menace ectoplasmique… Mais tout cela ne peut se faire qu’avec l’aide des anciens chasseurs de fantômes !
Pourquoi on l’a aimé : Alors qu’on s’attendait à du fan-service ou à du réchauffé (comme avec le retour de Gozer, l’ennemi initial des Ghostbusters), ce film s’est finalement révélé être une bonne surprise ! Le côté petite ville des années 80 avec une bande de jeunes copains qui reflète un côté Stranger Things ou Les Goonies est très plaisant et permet aussi de ne pas être dépaysé de l’ambiance des premiers films de la franchise. On sent clairement que le réalisateur essaye de relancer une vraie suite pour cette licence à succès, et c’est assez réussi. Même les musiques des premiers film y sont ! Avec un casting plutôt sympathique (Paul Rudd, Carrie Coon, Finn Wolfhard), qui incarnent des personnages bien écrit au cœur d’un scénario correct, la formule fonctionne !
Spider-man : No Way Home
Réalisé par Jon Watts
Durée : environ 2h30
Après avoir vu son identité dévoilée aux yeux du monde entier dans la scène post-générique de Spider-Man : Far from Home, Peter Parker (Tom Holland), alias Spider-man, est harcelé par tout le monde. Fatigué, il décide de résoudre son problème de notoriété en allant voir le Doctor Strange (Benedict Cumberbatch). Ce dernier peut utiliser un sortilège pour faire en sorte que le monde oublie qui est Spider-man. Mais tout ne se passe pas comme prévu. En effet, un portail du multivers (plusieurs univers parallèles) est ouvert, et les anciens ennemis des Spider-men (Tobey Maguire et Andrew Gafield) des films de Sam Raimi et Marc Webb arrivent dans l’univers du jeune Peter… Spider-man (ou les Spider-men?) et le Doctor Strange pourront-ils les arrêter ?
Pourquoi on l’a aimé : Nous en parlions dans l’hebdo du 15 décembre 2021. C’était sans doute le film le plus attendu de l’année. Et c’est une réussite. Quoi qu’on dise des films de super-héros, ils ont la côte en ce moment et sont sympathiques ! Troisième opus de la trilogie de Jon Watts, celui-ci nous montre un Spider-Man (Tom Holland) plus sombre, qui devient adulte en traversant des épreuves difficiles. Alors qu’on pensait que Peter Parker allait encore être bordé par un autre héros (le Doctor Strange), le jeune homme-araignée parvient à résoudre le problème qu’il a créé lui-même (enfin presque…). En jouant sur la nostalgie des fans avec le retour d’anciens personnages qui sont bien fidèles à leur rôles et utiles au scénario, Marvel réussi avec brio son entrée dans le monde du Multivers.
Nos déceptions de 2021
Space Jam : Nouvelle ère
Réalisé par Malcolm D. Lee
Durée : environ 1h55
Dom (Cedric Joe) est le fils de LeBron James, véritable star de la NBA. Mais contrairement à son père, Dom ne souhaite pas devenir basketteur. Il veut développer des jeux-vidéo. Un jour, lui et son père son contactés par la Warner afin d’utiliser l’image du joueur pour des films. Après le refus du joueur, AI-G (Don Cheadle), l’intelligence artificielle de la Warner, fait prisonnier LeBron et son fils. Si la petite famille espère sortir du monde virtuel dans lequel ils sont faits prisonniers, il faut que LeBron remporte un match de basket avec la Tunes Squad, l’équipe des célèbres Looney Tunes contre AI-G et son propre fils…
Pourquoi on a été déçu : Le film se rapproche plus du fan-service overdosé qu’autre chose. On y voit sans cesse des références à toutes les licences que possède la Warner. Même si cela ne dénature pas l’intrigue du film, celle-ci se rapproche tout de même beaucoup de celle du premier volet (1999), qui mettait en scène Michael Jordan. Les effets spéciaux alliés au prises de vues réelles et au décor cartoonesque des Looney Tunes sont jolis… Jusqu’à ce que l’on voit les célèbres héros de dessins-animés sous leur forme 3D, pas forcément agréable. Heureusement, l’humour des Tunes sauve un peu le film.
Venom : Let there be Carnage
Réalisé par Andy Serkis
Durée : environ 1h30
L’univers élaboré par Sony continue son expansion, avec le second volet de Venom. Cette-fois, c’est Andy Serkis qui succède à Ruben Fleischer, réalisateur du premier Venom (2018). Toujours incarné par le britannique Tom Hardy (Mad Max, Inception…), Eddy Brock et le symbiote extra-terrestre sont de retour pour affronter le psychopathe Cletus Kasady, obsédé par Venom, qui devient Carnage, un autre symbiote beaucoup plus fou et sanguinaire que son adversaire. Interprété par Woody Harrelson (Bienvenue à Zombieland, Hunger Games…), Carnage devrait bien porter son nom. Mais Venom pourra t-il l’arrêter?
Pourquoi on a été déçu : On l’attendait (voir l’hebdo du 20 octobre 2021). Mais ce fut une déception. Au lieu de rattraper la représentation trop humoristique du premier volet, ce second Venom s’enfonce ! Même si le design des personnages et les effets spéciaux sont supers, la personnalité des personnages de Venom et Carnage ne sont pas 100% fidèles aux comics, et ça en devient presque malaisant. Surtout Venom, qui se permet de faire de l’humour tout au long du film, ce qui devient lourd… Enfin, le combat entre les deux symbiotes n’est pas à la hauteur des attentes. Le seul moment où on s’est régalé durant le film et la scène post-générique. C’est dire !
Wonder Woman 1984
Réalisé par Patty Jenkins
Durée : environ 2h30
Soixante-dix ans après la Première Guerre Mondiale explorée dans le premier Wonder Woman (2017), le film se place en 1984. Diana Prince, alias Wonder Woman (Gal Gadot), tente de vivre une vie normale. Elle travaille dans un institut de recherche scientifique à Washington DC. Un jour, Barbara (Kristen Wiig), une de ses collègues, va utiliser une pierre magique que convoite Maxwell Lord (Pedro Pascal), un mal-intentionné homme d’affaires. Barbara se transforme en Cheetah, et devient l’ennemi de Wonder Woman. L’héroïne pourra t-elle arrêter ces deux ennemis ?
Pourquoi on a été déçu : Après un bon premier film, Patty Jenkins réalise un film d’une qualité nettement inférieure. Les deux méchants sont beaucoup trop caricaturés et certaines scènes sont inutiles au scénario. Après avoir décrit les origines de la super-héroïne durant la Première Guerre Mondiale, cette aventure se déroulant dans les années 80 ressemble plus à une obsession de cet époque… Pourquoi ne pas avoir choisi d’écrire une histoire se déroulant à l’époque actuelle, où se déroule le Justice League de Zack Snyder (2017) ? Malgré tout, la bande son d’Hans Zimmer reste assez bonne, et Gal Gadot et les effets spéciaux permettent au film de limiter la casse…
Séries
Nos coups de coeur de 2021
Arcane
Produite par Netflix et Fortiche Studio – 1 saison
Série d’animation en neuf épisodes (seuls trois sont sortis à l’heure où ces lignes sont écrites), Arcane raconte les origines de certains personnages du célèbre jeu vidéo de Riot Games, League of Legends. On suit les aventures de Vi et Powder (qui devient Jynx dans le jeu), deux jeunes enfants orphelines. Elles tentent de survivre tant bien que mal dans la cité basse (pour ne pas dire bidonville) de Piltover. Mais pendant ce temps, la magie, jusqu’alors bannie, est remise au goût du jour par des scientifiques, alors qu’un complot se trame…
Pourquoi on l’a aimée : Comme nous le présentions déjà dans l’hebdo du 10 novembre 2021, c’est une production américaine (Netflix). la série est animée par le studio français Fortiche Production. Et c’est plutôt joli ! Qu’on soit initié ou pas de l’univers de League of Legends, l’histoire et compréhensible et les personnages attachants. Le générique signé Imagine Dragons est également super.
Loki
Réalisée par Michael Waldron – 1 saison
Peu après les événements d’Avengers : Endgame (2019), Loki, le dieu de la malice (Tom Hiddleston) se retrouve capturé par la TVA, sorte de police du temps dirigée par les Gardiens du temps. Ces derniers ont pour objectif de voyager entre les différentes dimensions de l’univers Marvel afin d’éliminer les personnes qui ne sont pas dans leur univers respectif. Loki va alors se retrouver au coeur d’un complot qui le dépasse, qu’il va tenter de résoudre avec l’agent Mobius (Owen Wilson) et son clone féminin (Sophia Di Martino)…
Pourquoi on l’a aimée : Pour la première fois dans son univers cinématographique, Loki évoque le Multivers, une notion complexe issue des comics Marvel. Contrairement aux films qui précèdent, le Loki de Tom Hiddleston est montré sous un autre jour et devient très appréciable. Il a un côté plus humain et va même nouer une forte relation avec son double féminin incarné par Sophia Di Martino. Et que dire de l’introduction du futur grand méchant du Marvel Cinematic Universe… Seul bémol : le générique (excellent) à tendance à rester dans la tête.
You
Réalisée par Sera Gamble et Greg Berlanti – 3 saisons
Alors que la quatrième saison devrait bientôt arriver sur Netflix, la troisième saison de cette série est sortie cette année. Après avoir fini par tuer les personnes qui nuisaient à ses relatons amoureuses (même carrément ses compagnes), le psychopathe Joe Goldberg (Penn Badgley) change de vie. Il rencontre Love (Victoria Pedretti) avec qui il se marie et a un enfant, Henry. Le problème et qu’elle est aussi folle que lui… Alors que les deux essayent de vivre une vie rangée dans la ville de Madre Linda, leurs pulsions meurtrières vont les pousser à mettre un terme à leur mariage…
Pourquoi on l’a aimé : La troisième saison de cette série nous replonge parfaitement dans la tête de Joe Goldberg, qui continue a commettre des crimes passionnels malgré son mariage, qu’on pensait être la solution à ses problèmes. Mais aux vues de la situation folle qu’il vit dans son couple, c’est mal barré… L’histoire est bien raconté et on est toujours autant captivé que dans les deux premières saisons. Toujours en nous plaçant dans la tête de Joe, le personnage principal, la série est dans un registre très psychologique, et c’est efficace !
Dopesick
Réalisée par Danny Strong – 1 saison
Dans cette série, on suit l’histoire de plusieurs personnes (notamment un médecin) vivants dans une petite ville minière de Virginie, aux USA. En parallèle, on voit aussi les coulisses de la commercialisation de l’Oxicontin, un médicament qui guérit les douleurs chroniques. Billy Cutler (Will Poulter) est envoyé par Purdue Pharma, l’entreprise qui vend le médicament pour convaincre le docteur Finnix (Michael Keaton) de l’utiliser. Mais on comprend vite que l’entreprise derrière ce médicament ne voue pas des intentions louables,. Toute une investigation va se construire face à cet opiacé qui, malgré son efficacité, ruine la vie des gens…
Pourquoi on l’a aimée : Comme on le disait déjà dans l’hebdo du 17 novembre 2021 , cette série retrace l’historique de la crise des opioïdes aux États-Unis. Bonne série à suspens, elle est composée d’un très bon casting : Michael Keaton (Batman, Spider man : Homecoming) qui participe notamment à la production, Will Poulter (The Revenant, Le monde de Narnia), Rosario Dawson (Sin City, Men in black 2), entre autres. L’histoire est bien développée et se déroule sur plusieurs années, ce qui aide à comprendre l’affaire dans les détails.
WandaVision
Réalisée par Jac Shaeffer – 1 saison
On termine nos coups de cœur avec (encore) des super-héros. Cette-fois, c’est WandaVision. Très attendue, la série Marvel nous place, comme Loki, après les événements d’Avengers : Endgame (2019). Traumatisée par la mort de son conjoint Vision (Paul Betanny), Wanda (Elizabeth Olsen) se réfugie dans la ville de WestView, où elle jette un sort qui coupe la ville du reste du monde en l’enfermant dans une série TV. Dépêchés sur place, Monica Rambeau (Teyonah Parris), le FBI et l’armée tente de sauver la ville. Mais c’est sans compter sur l’apparition d’une nouvelle méchante qui va s’en prendre à Wanda…
Pourquoi on l’a aimée : WandaVision est une série avec un concept génial et original : chaque épisode est présenté sous forme de série différent : on commence avec un épisode reprenant les codes des séries des années 50 (en noir et blanc), puis chaque épisode représente une époque différente de la TV. Le fait que tout les styles soient utilisés dans cette série (comique, comédie musicale, action…) est vraiment sympathique et superbement mis en scène !
Nos déceptions de 2021
Souviens-toi l’été dernier
Réalisée par Sarah Goodman – 1 saison
Réadaptation “moderne” du film du même nom sorti en 1997, devenu une trilogie. Souviens-toi l’été dernier est une série horrifique dans laquelle une bande d’ados est traquée par un tueur. La raison ? Ces ados ont un terrible secret qu’ils gardent : ils ont accidentellement renversé et tué une personne après une soirée trop arrosée.
Pourquoi on a été déçu : Déjà adapté en trilogie au cinéma, le livre de Lois Duncan Comme en un mauvais rêve (1977) se décline cette-fois en série. Comme on l’expliquait dans l’hebdo du 27 octobre 2021, il s’agit d’une adaptation à l’époque actuelle qui ne brille pas spécialement, encore moins avec ses scènes prévisibles. De plus, les acteurs ne sont pas convaincants et la série est beaucoup trop clichée.
La Roue du temps
Réalisée par Rafe Judkins – 1 saison
Disponible à partir du 19 novembre. Adaptation des romans La roue du temps de Robert Jordan , cette série se déroule dans un univers fantasy. Dans ce monde ou la magie existe, seule les femmes sont capables de la maîtriser. Mais des forces maléfiques menacent de détruire le monde. Moiraine (Rosamund Pike), membre des Aes Sedai, un groupe de magiciennes, rassemblent un groupe de 4 personnes. Son but est de découvrir lequel d’entre eux est l’élu, celui qui détruira ou sauvera le monde…
Pourquoi on a été déçu : Nous l’attendions l’hebdo du 17 novembre… L’aventure en soit n’est pas si mauvaise que ça, même s’il existe quelques incohérences. La maladresse est plus au niveau du casting, où Amazon a sans doute eu recours à un quota ethnique… Ce qui n’est pas une mauvaise idée, mais ici, cela casse tout au niveau de la logique des univers fantasy. De plus, certains personnages sont assez agaçants. Il y a en tout cas de quoi s’inquiéter pour la prochaine série issue de l’univers du Seigneur des Anneaux… Cependant, les décors et effets spéciaux restent relativement sympathiques.
Y: Le dernier Homme
Réalisée par Eliza Clark – 1 saison
Adapté du comics du même nom, Y : Le dernier Homme raconte l’histoire de Yorick (Ben Schnetzer), seul homme survivant d’une catastrophe planétaire qui a mystérieusement tué (presque) tout les hommes. En cherchant sa copine (Juliana Canfield) et sa sœur (Olivia Thirbly) avec son singe Esperluette, il va devoir apprendre à survivre dans un monde dirigé par les femmes, où les États-Unis sont maintenant dirigés tant bien que mal par sa propre mère (Diane Lane)…
Pourquoi on a été déçu : C’était l’une des premières séries dont on parlait dans la première édition de l’hebdo pop-corn. Au début, on a aimé. Les premiers épisodes sont captivants. Il y a de la tension, les personnages sont bien développés. Mais plus on avance dans les épisodes, et plus on s’ennuie et cela devient « lent » et peu intéressant. En fait, le fait que la série ait voulu se distinguer des comics n’est pas vraiment une bonne chose…
Le mot de la fin
Voilà, l’année 2021 est terminée ! Une année marquée par la fermeture des salles de cinéma jusqu’en mai, ainsi que les plateformes SVoD qui se sont encore plus imposées comme des indispensables… Mais pour cette année, on retiendra surtout que les super-héros ont dictés la loi au box-office, mais aussi sur petit écran, pour le meilleur comme pour le pire !
L’équipe de La Loop vous souhaite une belle et merveilleuse année 2022 !