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Commerces et services

Le vrac sans emballage, du bio ou du local !

En face de la place Granvelle, 4 rue de la préfecture, Amélien Grandvaux a déménagé son vrac et propose des produits bio et locaux.


Julie Langlois
Le 24 novembre 2020 à 10h00

Après un déménagement dans une boutique plus vaste, le vrac est comme neuf ! Depuis quelques mois, on le retrouve au 4 rue de la préfecture, en face de la place Granvelle. Cette épicerie, c’est l’initiative d’Amélien Grandvaux, le gérant.

Une nouvelle façon de poursuivre leur engagement : « Phenix »

Dans leur initiative zéro déchet, le vrac s’est lancé sur l’application « Phenix ». Cette application, c’est pour les invendus. Ceux qui sont encore bons, mais pas assez beaux pour être proposés aux consommateurs. Les commerçants réalisent des « paniers » et les proposent ensuite sur l’application. Une solution plutôt favorable aux étudiants qui peuvent obtenir des paniers à moindre coût. Ils sont vendus en moyenne 50% moins cher que le prix d’origine. Réduire le gaspillage alimentaire et faire des économies, tous les partis sont gagnants !

Des produits de qualité et locaux

Dans le magasin, ce qui n’est pas bio, c’est du local ou de l’artisanal. Les producteurs locaux sont majoritaires, le pain est livré et fait par des producteurs artisanaux qui récoltent leurs blés, le miel. Le pain d’épices vient de Dole, et leurs œufs frais viennent de Franey. Pour les fruits et légumes, tout provient de leur producteur local situé à Grosbois. Avec ce grand nombre de producteurs, ils reçoivent des produits presque tous les jours.

« Nous avons une clientèle régulière, les gens nous demandent des conseils sur les produits peu communs, c’est important de le faire et ça fait souvent la différence. »

Un commerce de proximité proches de leurs consommateurs

Effectivement, ceux qui viennent au Vrac y retrouvent différents produits. Des fruits et légumes oui, mais aussi du pain, des produits de toilette, ou encore des épices au nom extravagant. « Le premier produit que j’ai acheté au vrac c’était un shampoing » nous dit une jeune femme qui travaille à proximité du vrac.



Julie Langlois

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